Olivia Grandville, photo F. Poyet
"L’écriture discursive n’est pas mon fort, mais n’attendez pas de
moi des allusions et développements théoriques dont je suis
perclus depuis près de cinquante ans.
Je viens d’assister deux fois, coup sur coup, au spectacle d’Olivia
Grandville articulé autour des idées et des œuvres chorégraphi-
ques novatrices d’Isidore Isou, publiées entre 1953 et 1964, intitu-
lé Le Cabaret discrépant.
Le spectacle étonne et détonne...."
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